Réflexion faite il n'y a pas tant de façons que ça de photographier cet endroit. La forme de l'hôtel, la voie ferrée, la rue, le muret imposent le cadre. Tu évites la "répétition" par le carré, mais je me demande s'il ne faut pas mieux répéter le format vertical qui donne de l'élan à la bâtisse. Cet endroit finira par me sortir par les trous de nez ;)
Je n'avais pas l'intention de présenter cette photo, la précédente suffisait (sic!), c'est en voyant la photo de la photo montrée par Patrick (Bernard Plossu) que j'ai eu la même réflexion que finalement un point de vue différent de ce qu'il a déjà été fait n'est pas chose facile à cet endroit. C'est inconsciemment et normal (évident) que l'on reproduise ce qu'aurait déjà vu et photographié un autre, aussi je réécris cette expression, qui t'avait fait sourire "c'est la mienne" (à propos d'une photo faite à Ston visible ailleurs).
Tout ça est entrain de me rendre fou. Pourquoi n'y aurait il qu'une vue à faire de cet immeuble, d'ailleurs j'aimerai bien voir par en bas niveau balast, il y a des arcades qui sont pas mal. De même la vue depuis les jardins de l'autre coté de la voie ferrée me rend très curieux, la façade coté chemin de fer n'a pas l'air mal non plus. En plus, je vois un petit pont derrière ou devant l'hôtel. Il traverse les voies, c'est bien le diable si on n'arrive pas à voir quelque chose de ce coté, peut-être le soleil est un problème, peut-être faut-il camper sur place… restons calme. Quand j'avais vu la photo de Plossu je m'étais dit que ce n'était pas pour moi, c'était trop bien. Et puis, en regardant les vôtres je me pose des questions et ça me donne envie. Je me dis aussi que Plossu c'est pas trop son genre de faire plusieurs point de vue. Il en trouve un et c'est suffisant… en général c'est le meilleur et ça c'est un peu décourageant, mais je ne suis pas Plossu (j'aimerai pourtant…) mais vous pourquoi le même ? Finalement n'y en aurait il qu'un. Bon, je farfouille internet. C'est vrais que les vues de face coté entrée principale sont pas légions, pourquoi ? Les autochtones pourront peut-être me renseigner, mais je me méfie d'eux, même s'ils mangent des gâteaux berlinois. Je suis content, je trouve le nom de l'architecte de cette petite merveille, Léon Baille, architecte voyer à Perpignan, je me dis que ça y est que j'ai trouvé l'auteur de la petite maison, celle que je photographie régulièrement en septembre sur les remparts de Perpignan. Perdu, je tombe sur un petit article intéressant qui traite de l'architecture pittoresque-moderniste fin de siècle à Perpignan, où cette maison est attribuée à Raoul Castan qui l'a réalisée pour le peintre Louis Bausil. (vive internet…) Visiblement, vu la production normale de Léon Baille, plutôt néoclassique, M. Léon avait du tomber sur un paquet de cigarettes marocaines quand il a fait l'Hôtel Belvédère du Rayon vert (vous m'aviez caché le nom complet…) . N'empêche, il doit bien y avoir un autre point de vue. Quand même !
Réflexion faite il n'y a pas tant de façons que ça de photographier cet endroit.
RépondreSupprimerLa forme de l'hôtel, la voie ferrée, la rue, le muret imposent le cadre. Tu évites la "répétition" par le carré, mais je me demande s'il ne faut pas mieux répéter le format vertical qui donne de l'élan à la bâtisse.
Cet endroit finira par me sortir par les trous de nez ;)
Je n'avais pas l'intention de présenter cette photo, la précédente suffisait (sic!), c'est en voyant la photo de la photo montrée par Patrick (Bernard Plossu) que j'ai eu la même réflexion que finalement un point de vue différent de ce qu'il a déjà été fait n'est pas chose facile à cet endroit. C'est inconsciemment et normal (évident) que l'on reproduise ce qu'aurait déjà vu et photographié un autre, aussi je réécris cette expression, qui t'avait fait sourire "c'est la mienne" (à propos d'une photo faite à Ston visible ailleurs).
RépondreSupprimerTout ça est entrain de me rendre fou.
RépondreSupprimerPourquoi n'y aurait il qu'une vue à faire de cet immeuble, d'ailleurs j'aimerai bien voir par en bas niveau balast, il y a des arcades qui sont pas mal. De même la vue depuis les jardins de l'autre coté de la voie ferrée me rend très curieux, la façade coté chemin de fer n'a pas l'air mal non plus.
En plus, je vois un petit pont derrière ou devant l'hôtel. Il traverse les voies, c'est bien le diable si on n'arrive pas à voir quelque chose de ce coté, peut-être le soleil est un problème, peut-être faut-il camper sur place… restons calme.
Quand j'avais vu la photo de Plossu je m'étais dit que ce n'était pas pour moi, c'était trop bien.
Et puis, en regardant les vôtres je me pose des questions et ça me donne envie.
Je me dis aussi que Plossu c'est pas trop son genre de faire plusieurs point de vue. Il en trouve un et c'est suffisant… en général c'est le meilleur et ça c'est un peu décourageant, mais je ne suis pas Plossu (j'aimerai pourtant…) mais vous pourquoi le même ? Finalement n'y en aurait il qu'un.
Bon, je farfouille internet. C'est vrais que les vues de face coté entrée principale sont pas légions, pourquoi ? Les autochtones pourront peut-être me renseigner, mais je me méfie d'eux, même s'ils mangent des gâteaux berlinois.
Je suis content, je trouve le nom de l'architecte de cette petite merveille, Léon Baille, architecte voyer à Perpignan, je me dis que ça y est que j'ai trouvé l'auteur de la petite maison, celle que je photographie régulièrement en septembre sur les remparts de Perpignan.
Perdu, je tombe sur un petit article intéressant qui traite de l'architecture pittoresque-moderniste fin de siècle à Perpignan, où cette maison est attribuée à Raoul Castan qui l'a réalisée pour le peintre Louis Bausil. (vive internet…)
Visiblement, vu la production normale de Léon Baille, plutôt néoclassique, M. Léon avait du tomber sur un paquet de cigarettes marocaines quand il a fait l'Hôtel Belvédère du Rayon vert (vous m'aviez caché le nom complet…) .
N'empêche, il doit bien y avoir un autre point de vue. Quand même !