Pas de commentaire(s) pour cette photographie. C'est dommage et injuste à la fois quand on observe beaucoup d'inutilité amicale dans ceux qui suivent des photographies qui parfois ne mériteraient pas grand chose. Dans son "registre", je dirais documentaire (sociologique, architectural, presque, pourquoi pas, anthropologique) elle est quasi-parfaite. De plus la lumière, le cadrage vont dans le même sens, celui d'une forme de beauté qui n'est que celle la réalité. Seulement cette photo ne me suffit pas ! Elle entame un propos qui doit être prolongé. Qu'il s'agisse de circonscrire un espace plus ou moins grand, plus ou moins de forme bizarre, rue, quartier... Seule elle échoue de peu, il lui en faudrait d'autres, à venir je pense (!) pour que ce coin de Roubaix nous soit/devienne plus familier. Mais là, nous avons une belle richesse. Une richesse cependant distante, un peu comme certaine "école" anglo-saxonne qui a force de banaliser en l'aseptisant, le réel, le déshumanise un peu trop. Ça deviendrait facilement trop beau et alors, au bout d'un moment on s'en lasserait... ce sont les défauts, imperceptibles, qui rendent la beauté à la fois attirante et attrayante.
Les photos que je présente de Croix, Roubaix ou Wasquehal sont faites dans un rayonnement de 1heure aller-retour (arrêt et observations pour les prises de vues compris) de mon lieu de travail. Je profite de ce moment de pause du midi, c'est une détente, et faire travailler son œil c'est bon. Je passe souvent par les mêmes endroits (les "bis" et les "ter"), à ce moment les gens rentrent, prennent le repas et repartent, conduire les enfants à l'école ou se rendre tout simplement au travail si c'est le cas, je ne les ai pas encore vraiment photographiés ou seulement en retrait, au travers de l'environnement. J'essaye de voir et découvrir autrement ces lieux. Il y a du "potentiel" le tout est d'être disponible (l'esprit) au bon moment. Merci Alain pour tes observations, remarques qui m'insistent à poursuivre dans ce sens
Pas de commentaire(s) pour cette photographie. C'est dommage et injuste à la fois quand on observe beaucoup d'inutilité amicale dans ceux qui suivent des photographies qui parfois ne mériteraient pas grand chose.
RépondreSupprimerDans son "registre", je dirais documentaire (sociologique, architectural, presque, pourquoi pas, anthropologique) elle est quasi-parfaite.
De plus la lumière, le cadrage vont dans le même sens, celui d'une forme de beauté qui n'est que celle la réalité.
Seulement cette photo ne me suffit pas ! Elle entame un propos qui doit être prolongé. Qu'il s'agisse de circonscrire un espace plus ou moins grand, plus ou moins de forme bizarre, rue, quartier... Seule elle échoue de peu, il lui en faudrait d'autres, à venir je pense (!) pour que ce coin de Roubaix nous soit/devienne plus familier.
Mais là, nous avons une belle richesse. Une richesse cependant distante, un peu comme certaine "école" anglo-saxonne qui a force de banaliser en l'aseptisant, le réel, le déshumanise un peu trop. Ça deviendrait facilement trop beau et alors, au bout d'un moment on s'en lasserait... ce sont les défauts, imperceptibles, qui rendent la beauté à la fois attirante et attrayante.
Les photos que je présente de Croix, Roubaix ou Wasquehal sont faites dans un rayonnement de 1heure aller-retour (arrêt et observations pour les prises de vues compris) de mon lieu de travail. Je profite de ce moment de pause du midi, c'est une détente, et faire travailler son œil c'est bon. Je passe souvent par les mêmes endroits (les "bis" et les "ter"), à ce moment les gens rentrent, prennent le repas et repartent, conduire les enfants à l'école ou se rendre tout simplement au travail si c'est le cas, je ne les ai pas encore vraiment photographiés ou seulement en retrait, au travers de l'environnement. J'essaye de voir et découvrir autrement ces lieux. Il y a du "potentiel" le tout est d'être disponible (l'esprit) au bon moment.
RépondreSupprimerMerci Alain pour tes observations, remarques qui m'insistent à poursuivre dans ce sens