J'aime bien le côté "péripatéticien" de ce triptyque, les cent pas du photographe transformés, mouvement relatif oblige, en quelque chose qui ressemble à un va-et-vient des poteaux...
En fait ce n'est qu'un mouvement linéaire, un feu tricolore provisoire suite à des travaux de voirie, oblige à cette heure là une attente obligée, défiler au pas le long des grandes clôtures protégeant "les belles propriétés", en quelque sorte l’envers du décor.
J'aime bien le côté "péripatéticien" de ce triptyque, les cent pas du photographe transformés, mouvement relatif oblige, en quelque chose qui ressemble à un va-et-vient des poteaux...
RépondreSupprimerEn fait ce n'est qu'un mouvement linéaire, un feu tricolore provisoire suite à des travaux de voirie, oblige à cette heure là une attente obligée, défiler au pas le long des grandes clôtures protégeant "les belles propriétés", en quelque sorte l’envers du décor.
RépondreSupprimerC'est vrai que ce triptyque aurait pu s'appeler "belles de trottoit" !
RépondreSupprimerThierry h
Thierry tu es influencé par le commentaire de Patrick, non?
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