Cadrage coupé à la prise ou après ? J'aime bien par les couleurs qui claquent et la netteté (j'ai d'abord cru à une figurine sur une maquette...). J'aime aussi le principe du décadrage sauvage même si, comme pour "jour de fête", je lui trouve une frontière un peu hésitante.
Pourquoi faire un cadrage coupé après lorsqu'il est possible de le faire pendant? Ici l'enfant est en mouvement, il a terminé sa glissage, il se retourne vers ses parents, il y a pas mal (même beaucoup) de chance dans ce type de prise de vue. L'ensemble, me semble, être assez cohérent, pour moi c'est une photo acceptable, montrable (je pense!). Comme tu le soulignes ce sont les couleurs la lumière qui m'ont attiré, l'enfant est venu s'y rajouter et tant mieux (comme dirait William K, "c'est une photo" à voir et revoir ici: http://glob-o-blog.blogspot.com/2011/09/monsieur-klein.html). Patrick,"un frontière hésitante" tu parles du choix des éléments à intégrer ou non dans le cadre? Merci Patrick
Tout à fait d'accord avec le côté "montrable" de la photo, que je remettais nullement en cause, bien au contraire ! Pour le format, je me posais la question dans la mesure où l'on voit de temps en temps chez toi des formats carrés dont je soupçonne qu'ils ne sont pas natifs (mais je peux me tromper). Alors pourquoi réserver un recadrage éventuel à ce type de passage ? Pour la "frontière" hésitante", c'est en effet une question d'équilibre délicat entre le trop et le trop peu de ce qui est coupé ou pas.
Ah!le format carré 1:1, mon Père possédait un Olbia 6x6, tout à fait correct, j'ai baigné dans ce format, je l'ai oublié avec le format plus "moderne" 35mm. Christian et Sylvie et sa vision de choses "plus américaine" m'ont fait redécouvrir ce format oublié (pour moi). Souvent je voyais des photos carré dans le format 3:2 (coupe à droite et à gauche pour l'obtenir), maintenant c'est plus facile l'appareil actuel (depuis juillet) me permet de passer d'un format à l'autre sans trop me triturer l'esprit.
Petits arrangements avec les formats, ou bien recadrage. Depuis longtemps la question ne se posait plus (pour moi) je ne recadrais pas, pour des questions de facilité et de repos intellectuel. En effet, on ne sait jamais combien de temps on va passer sur un recadrage, alors qu'à la prise de vue si on fait un peu attention la question ne se pose pas au tirage, et la discussion est close. Ca, c'était il y a deux mois avant que je reprenne un 24/36 pour essayer de la couleur. Depuis le ver est dans le fruit (et regardait Cain (désolé je peux pas m'en empêcher…)) et en plus en couleur. Oui je le confesse, de temps en temps je recadre du 24x36 ça c'est à peu près normal, mais ce qui est plus grave c'est que je commence à recadrer du 6X6. Du coup mes nuits sont plus agitées et je me suis imposé une contrainte : sur du 6X6 si ça ne marche pas en 1/2 ne pas insister. Ceci dit, je suis toujours surpris qu'il y ait encore des interrogations sur le recadrage. Enfin quoi des grands garçons comme vous, quand même !
D'accord avec Christian... Le cadrage est une affaire de morale (comme une autre chose cinématographique d'ailleurs) alors... quoi donc ? Eh bien il y a une solution, ne jamais recadrer, laisser faire "l'instinct" (mon beau soucis) et puis considérer que la chose est telle qu'on l'a vue, avec le cadrage que l'on a vu, l'humeur qui était la notre. Ce serait un dogme ? non, mais une certaine insouciance...
Mais il est vrai, qu'en galerie, souvent le "carré" est plus chic... alors... Tout ça pour ne rien dire en fait, du moins rien d'important, rien de vital... photographions avant qu'il ne soit trop tard, pour rien, pour personne en particulier... simplement parce que l'on ne sait faire autrement. Oui je suis "fatigué". Sorry...
Oui Alain, c'est une affaire de morale. Le recadrage lorsque cela est nécessaire sans dénaturer ce que l'on a voulu montrer. Finalement si vraiment on recadre toutes ses photos, il faut arrêter et se mettre au ping-pong, sinon où est le plaisir de photographier. Ici (ailleurs aussi) très peu de recadrage une deux ou trois pas plus et les premiers carrés d'avant juillet eux taillés dans le 3:2. Christian cela se soigne, laisse toi aller, mais là je n'ai rien à t'apprendre.
Cadrage coupé à la prise ou après ? J'aime bien par les couleurs qui claquent et la netteté (j'ai d'abord cru à une figurine sur une maquette...). J'aime aussi le principe du décadrage sauvage même si, comme pour "jour de fête", je lui trouve une frontière un peu hésitante.
RépondreSupprimerPourquoi faire un cadrage coupé après lorsqu'il est possible de le faire pendant? Ici l'enfant est en mouvement, il a terminé sa glissage, il se retourne vers ses parents, il y a pas mal (même beaucoup) de chance dans ce type de prise de vue. L'ensemble, me semble, être assez cohérent, pour moi c'est une photo acceptable, montrable (je pense!). Comme tu le soulignes ce sont les couleurs la lumière qui m'ont attiré, l'enfant est venu s'y rajouter et tant mieux (comme dirait William K, "c'est une photo" à voir et revoir ici: http://glob-o-blog.blogspot.com/2011/09/monsieur-klein.html). Patrick,"un frontière hésitante" tu parles du choix des éléments à intégrer ou non dans le cadre?
RépondreSupprimerMerci Patrick
Pour mémoire/rappel...
RépondreSupprimerhttp://alpo66.blogspot.com/2011/01/paturage-littoralhiver-13.html
Tout à fait d'accord avec le côté "montrable" de la photo, que je remettais nullement en cause, bien au contraire !
RépondreSupprimerPour le format, je me posais la question dans la mesure où l'on voit de temps en temps chez toi des formats carrés dont je soupçonne qu'ils ne sont pas natifs (mais je peux me tromper). Alors pourquoi réserver un recadrage éventuel à ce type de passage ?
Pour la "frontière" hésitante", c'est en effet une question d'équilibre délicat entre le trop et le trop peu de ce qui est coupé ou pas.
Ah!le format carré 1:1, mon Père possédait un Olbia 6x6, tout à fait correct, j'ai baigné dans ce format, je l'ai oublié avec le format plus "moderne" 35mm. Christian et Sylvie et sa vision de choses "plus américaine" m'ont fait redécouvrir ce format oublié (pour moi). Souvent je voyais des photos carré dans le format 3:2 (coupe à droite et à gauche pour l'obtenir), maintenant c'est plus facile l'appareil actuel (depuis juillet) me permet de passer d'un format à l'autre sans trop me triturer l'esprit.
RépondreSupprimerPetits arrangements avec les formats, ou bien recadrage.
RépondreSupprimerDepuis longtemps la question ne se posait plus (pour moi) je ne recadrais pas, pour des questions de facilité et de repos intellectuel. En effet, on ne sait jamais combien de temps on va passer sur un recadrage, alors qu'à la prise de vue si on fait un peu attention la question ne se pose pas au tirage, et la discussion est close.
Ca, c'était il y a deux mois avant que je reprenne un 24/36 pour essayer de la couleur. Depuis le ver est dans le fruit (et regardait Cain (désolé je peux pas m'en empêcher…)) et en plus en couleur.
Oui je le confesse, de temps en temps je recadre du 24x36 ça c'est à peu près normal, mais ce qui est plus grave c'est que je commence à recadrer du 6X6. Du coup mes nuits sont plus agitées et je me suis imposé une contrainte : sur du 6X6 si ça ne marche pas en 1/2 ne pas insister.
Ceci dit, je suis toujours surpris qu'il y ait encore des interrogations sur le recadrage. Enfin quoi des grands garçons comme vous, quand même !
D'accord avec Christian...
RépondreSupprimerLe cadrage est une affaire de morale (comme une autre chose cinématographique d'ailleurs) alors... quoi donc ?
Eh bien il y a une solution, ne jamais recadrer, laisser faire "l'instinct" (mon beau soucis) et puis considérer que la chose est telle qu'on l'a vue, avec le cadrage que l'on a vu, l'humeur qui était la notre.
Ce serait un dogme ? non, mais une certaine insouciance...
Mais il est vrai, qu'en galerie, souvent le "carré" est plus chic... alors...
Tout ça pour ne rien dire en fait, du moins rien d'important, rien de vital... photographions avant qu'il ne soit trop tard, pour rien, pour personne en particulier... simplement parce que l'on ne sait faire autrement.
Oui je suis "fatigué". Sorry...
Oui Alain, c'est une affaire de morale. Le recadrage lorsque cela est nécessaire sans dénaturer ce que l'on a voulu montrer. Finalement si vraiment on recadre toutes ses photos, il faut arrêter et se mettre au ping-pong, sinon où est le plaisir de photographier.
RépondreSupprimerIci (ailleurs aussi) très peu de recadrage une deux ou trois pas plus et les premiers carrés d'avant juillet eux taillés dans le 3:2.
Christian cela se soigne, laisse toi aller, mais là je n'ai rien à t'apprendre.