En petit format, le ciel et le sable (nettoyé, ratissé... donc photo du matin) presque à parts égales. L'espace parfaitement partagé et j'aime bien cette répartition (voir aussi Depardon dans "Errances") qui offre une autre perception des distances et des perspectives. Et si on agrandit... les détails du grand Barnum apparaissent sur la ligne d'horizon, envahissement méthodique, accessoirisation éphémère, indispensable semble-t-il. Comme si le ciel, la mer, le sable ne suffisait pas... et je pense en réponses aux longues promenades sur le rivage, les mois d'hiver...
En petit format, le ciel et le sable (nettoyé, ratissé... donc photo du matin) presque à parts égales. L'espace parfaitement partagé et j'aime bien cette répartition (voir aussi Depardon dans "Errances") qui offre une autre perception des distances et des perspectives.
RépondreSupprimerEt si on agrandit... les détails du grand Barnum apparaissent sur la ligne d'horizon, envahissement méthodique, accessoirisation éphémère, indispensable semble-t-il.
Comme si le ciel, la mer, le sable ne suffisait pas... et je pense en réponses aux longues promenades sur le rivage, les mois d'hiver...